La première disjonction du maxillaire fut pratiquée par Angell en 1860 à l’aide d’une vis de Dwinelle transpalatine sur un appareil en vulcanite. La disjonction lente est faite presque à coup sûr avec le disjoncteur (de type Chateau, à gouttière de surélévation). C’est un appareil d’expansion lente de la suture médio-palatine. Un vérin médian permet d’activer l’appareil.
Une disjonction lente est préconisée si l’on craint les inconvénients, reprochés par certains, de la disjonction rapide, plus brutale.
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