La première fronde mandibulaire décrite fût la fronde de Tunnel, en 1841.
La fronde mentonnière d’Oppenheim permet la traction en arrière de la mandibule et la traction en avant de l’arcade supérieure par un élastique tendu de chaque côté entre une tige verticale fixée à la mentonnière et des bagues molaires solidaires d’un arc lingual supérieur.
On a ainsi la possibilité de rétropulser la mandibule sans être arrêté par le contact des incisives mandibulaires contre la face vestibulaire des incisives maxillaires. Une action rapide est recommandée.